Lexique

Quelques définitions et observations pour gagner en clarté dans le monde du travail distribué, de la prospective et de l’apprentissage continu en réseau.

A

Accro à l’apprentissage: continuez à apprendre à tout âge.

Balance pour une recherche approfondie + le partage de votre cross-pollinisation d’idées/ de créations de sens. C’est votre contribution au monde.

C pour ‘see’ en anglais soit voir la périphérie tout balayant l’horizon. Voir au-delà, partager des insights et voir qui d’autres voient ce que vous voyez.

Utilisez vos diverses compétences pour la collaboration, la coopération et la co-création.

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“L’agilité d’apprentissage est cette capacité intelligente à donner du sens et à réussir quelque chose que nous n’avons jamais vu ou fait auparavant.” via @kwooleyy

“L’agilité d’apprentissage est un état d’esprit et une collection correspondante de pratiques qui permettent aux leaders de développer, de scaler et d’utiliser continuellement de nouvelles stratégies qui les équiperont pour les problèmes de plus en plus complexes auxquels ils sont confrontés dans leurs organisations.” — J.P. Flaum et Becky Winkler dans Harvard Business Review

“Par défaut, lorsque nous adoptons l’agilité d’apprentissage comme état d’esprit, l’apprentissage continu au travail devient la norme. Et avec le double défi de la mondialisation numériquement turbulente ET de la reprise économique désespérément nécessaire à naviguer, nous avons TOUS besoin, comme un impératif, d’apprendre de nouvelles façons de créer de la valeur au travail.

Recruter des personnes capables de s’adapter et de faire preuve de curiosité n’est-il pas un choix judicieux ? — Cathryn Barnard

“L’apprentissage en ligne devrait être rapide, amusant, fou, non planifié et inspirant. Il devrait être dispensé par des personnes qui ressemblent davantage à des DJ qu’à des producteurs de télévision. Il devrait bouger et nager, être ad hoc et à la volée. J’aimerais que les éducateurs sortent de leur esprit de classe et aillent voir comment le reste du monde fait de l’apprentissage en ligne.”— @oldaily

“Apprendre est différent. Apprendre est quelque chose que nous devons faire, c’est une danse, une étreinte, une chance d’allumer quelques lumières. Vous ne suivez pas un atelier. Vous en faites partie.”— Seth Godin

“Je ne pense pas que l’apprentissage soit défini par un bâtiment ou un certificat. Il est défini par une posture, un état d’esprit et des actions entreprises.” — Seth Godin

À lire: série d’articles sur la capacité d’apprentissage.

“L’apprentissage continu en réseau (Personal Knowledge Mastery) est un ensemble de processus, construits individuellement, pour aider chacun d’entre nous à donner un sens à notre monde et à travailler plus efficacement. Le PKM nous permet de nous maintenir à flot dans une mer d’informations, guidés par les communautés professionnelles et soutenus par les réseaux sociaux.

Le PKM est le principal ensemble de compétences permettant à chacun d’entre nous de donner un sens à notre monde, de travailler plus efficacement et de contribuer à la société. Le cadre PKM – Seek > Sense > Share – aide les professionnels à devenir des catalyseurs de savoirs.

Aujourd’hui, les meilleurs leaders sont des apprenants permanents.”— Harold Jarche

“La discipline du PKM aide à développer quatre compétences professionnelles essentielles, identifiées par l’Institute for the Future :

  1. la création de sens
  2. les abilités relationnelles
  3. la littératie numérique
  4. la gestion de la charge cognitive”.
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Source: via un tweet de @hjarche et d’une synthèse visuelle de @tnvora https://twitter.com/hjarche/status/1211640798267224065

“Un individu apprend de nombreuses façons différentes au travail. Une approche holistique de l’apprentissage et du développement organisationnels implique de soutenir tous ces moyens – plutôt que de se concentrer uniquement sur la formation. Les confinements nationaux ont fait évoluer le lieu de travail, ce qui offre aux organisations une excellente occasion d’adopter cette nouvelle approche de l’apprentissage organisationnel, que j’appelle l’apprentissage sur le lieu de travail moderne (Modern Workplace Learning: MWL).”

Jane Hart, auteur, MWL 2022

“L’art est un p(art) de chaque dép(art)” — @johnmaeda

“L’art se trouve aussi dans la façon dont nous travaillons. Cela peut sembler étrange, mais si vous pensez vraiment à votre travail comme à une forme d’artisanat, cela pourrait vous faire passer du statut de rouage d’une machine à celui d’une pièce unique à chaque appel que vous traitez, à chaque e-mail auquel vous répondez et à chaque conversation que vous engagez.

L’écoute – dans l’exemple ci-dessus – peut être rendue plus puissante, plus utile et plus efficace si vous traitez les choses de manière plus artistique que transactionnelle. D’accord, peut-être pas la discussion sur la question de savoir s’il faut allouer 400 ou 4 000 £ à un projet ou ce qu’il faut manger pour le thé, mais lorsque les personnes sont confuses, ont besoin de conseils, d’apprendre quelque chose, de gagner en confiance ou de désamorcer une tension. Une écoute plus habile pourrait bien faire la différence dans de nombreuses situations complexes et difficiles.”— Perry Timms

Chaque fois que trois personnes ou plus se réunissent dans un but précis, avec un début, un milieu et une fin. Un rassemblement est une unité technique que vous pouvez tenir et fermer. Différent d’une communauté. La vie de groupe permet aux personnes de faire leur travail de manière temporaire : marier des gens ou créer des produits par exemple.

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“L’asynchrone est la norme, donc être en mode synchrone semble très contraignant et lent. Au fil du temps, lorsque vous télétravaillez, vous vous habituez à communiquer de manière asynchrone et vous profitez des avantages liés à la gestion de plusieurs flux de communication. Le fait d’être en mode synchrone peut donc vous sembler lent et contraignant.

Ces inconvénients mis à part, l’espace de synchronisation peut être utile pour se mettre sur la même longueur d’onde, car il s’agit d’un investissement important de la part de chacun dans la co-présence. C’est la chose la plus proche d’une poignée de main dans un environnement entièrement distribué que de se présenter dans le même secteur de l’espace-temps.” — @johnmaeda

B

“Grâce aux médias sociaux (généralement Twitter), les participants à la conférence peuvent partager leurs pensées et leurs idées sur les informations partagées avec d’autres. Cela peut être aussi simple que de prendre les notes que je pourrais normalement compiler pour moi-même et de les partager avec le monde entier. Le plus intéressant dans ce partage, c’est qu’il va au-delà des simples notes de la présentation.

Les participants à la conférence partagent leurs propres réflexions et expériences sur le contenu. Ils partagent des ressources supplémentaires qui s’ajoutent à celles partagées par les intervenants. Ce qui est encore plus puissant, c’est que ce partage franchit les murs de la session, partageant le contenu avec tous ceux qui sont intéressés à le lire, même ceux qui ne participent pas à la session. C’est ce partage et cette expansion du contenu au cours d’un événement en direct que l’on appelle le “Backchannel”.” – David Kelly

“Actualiser VUCA (V:olatile, U:ncertain, C:omplex, A:mbigu) à BANI (B:rittle, A:nxious, N:on-line, I:ncomprehensible) : “La fragilité peut être combattue par la résilience et le relâchement. L’anxiété peut être atténuée par l’empathie et la pleine conscience. La non-linéarité aurait besoin de contexte et de flexibilité. L’incompréhensibilité demande de la transparence et de l’intuition.” – Jamais Cascio (2020) https://lnkd.in/emH4RkTT Interprété par Stephan Grabmeier https://lnkd.in/en3jwzH8 HT Mara Hermano” — John Maeda

“Le blogging n’est pas seulement un moyen d’organiser vos recherches – c’est un moyen de faire des recherches pour un livre ou un essai ou une histoire ou un discours dont vous ne savez pas encore le sujet d’écriture. C’est un moyen de découvrir ce dont parleront vos futurs livres, essais, histoires et discours.” — Cory Doctorow

“Le blog en tant qu’objet limite qui peut relier différents domaines de connaissance et différents réseaux sociaux simplement parce que son auteur choisit d’écrire sur des thèmes à partir d’une variété de rôles et d’identités lui étant propres.” — @mathemagenic

“Poussé par la curiosité et un profond désir d’apprendre, je suis entré dans un monde merveilleux. C’était l’équivalent d’une bibliothèque en ligne dont je faisais la curation avec les meilleurs curateurs et concepteurs pédagogiques.

J’ai découvert qui suivait qui et j’ai commencé à suivre certaines de ces personnes. Je ne savais pas alors que j’étais en train de créer mon réseau d’apprentissage personnel (RAP) et que cela changerait à jamais ma façon d’apprendre et de penser. Il n’est pas exagéré de dire que Twitter et le développement de mon RAP ont contribué à ce qui est devenu un apprentissage transformateur pour moi.”

“(…) Le blogging m’a fait passer à l’étape suivante du cadre – la détection. J’ai commencé à analyser, assimiler et relier les points disparates – les choses commençaient à avoir du sens.”

“Le blog est l’un des outils d’apprentissage et de réflexion personnelle les plus critiques et les plus puissants.”

“(…) Depuis lors, j’ai appris à faire de la curation, filtrer, agréger, sauvegarder et partager. Je suis de façon délibérée des personnes en qui j’ai confiance et qui deviennent mes curateurs.” — Sahana Chattopadhyay

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BYOE: Bring Your Own Everything. Apportez Votre Equipement personnel de Travail ou d’Apprentissage: AVET ou AVEA.

BYOE

Source: visual by Dennis Callahan, learningstreaming.com

C

“Capabilité

J’ai pensé et écrit sur le développement des compétences lorsque nous travaillons au sein des entreprises, mais je me suis demandé récemment en regardant “Tomorrow’s teams today : Building capabilities needed to transform“, de la McKinsey Academy, si mon attention sur les compétences n’était pas déplacée.

Ne devrais-je pas plutôt parler de capacités ? La raison pour laquelle j’avais mis l’accent sur les compétences est que je les considère comme un résultat de l’action et des connaissances appliquées, qui dépendent à leur tour des habilités et des aptitudes.”

Après mûre réflexion, je préfère suivre l’exemple de la McKinsey Academy et parler de capacité. Cela suggère un potentiel d’action. De plus, le terme “capacité” est plus englobant. Elle s’applique aussi bien aux individus qu’aux organisations.”

“(…) Capacité

Si l’habilité concerne le potentiel d’action, la capacité concerne les conditions qui permettent de réaliser ce potentiel. Les personnes ont besoin d’habilités – personnelles et organisationnelles – pour être en mesure de renforcer leurs capacités. Cela signifie du temps, de l’espace et du lieu, de l’énergie, des opportunités, de la liberté, ainsi qu’un accès aux réseaux sociaux, aux ressources, aux technologies et aux systèmes d’aide à la performance.” — Anne Marie Rattray

Lorsque je revisite ces cartes imprimées et numériques, je suis fier de mon travail et de ma créativité. Je suis enthousiaste à l’idée de soustraire ou d’ajouter des points et des idées. Mon intuition, ma vision, mon état d’esprit, mes pratiques et le contexte de notre monde moderne sont mes boussoles pour le faire.

Ces cartes sont des ressources et des archives. Des repères temporels uniques et des synthèses visuelles artistiques que je peux affiner et réutiliser dans un autre contexte ou projet. C’est pourquoi la cartographie conceptuelle est un moyen utile et créatif de nourrir ma curiosité sans limite et mon sens de l’observation.

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“La co-création est une forme d’innovation collaborative : Les idées sont partagées et améliorées ensemble plutôt que gardées pour soi. Les personnes sont intrinsèquement créatives et veulent façonner leurs propres expériences. À travers le temps, l’humanité a utilisé la collaboration et la coopération ; en temps de crise, la co-création devient vitale.”  — @AcornOakTribe

“Une communauté est un groupe de personnes ayant des valeurs, des comportements et des artefacts communs.” — The Community Roundtable

“Les communautés sont, à la base, la façon dont les personnes se sont toujours réunis pour apprendre. Elles fournissent l’espace, les relations, les collisions et la confiance nécessaires pour créer un sens partagé, pour itérer sur les idées émergentes et pour normaliser de nouveaux modèles et comportements.” — @rhappe

“Les communautés ne sont pas des comités ou des équipes de projet. Les personnes veulent les rejoindre. Les membres se sentent en affinité avec les communautés qui sont centrées sur l’apprentissage et l’amélioration en tant que professionnel. Les communautés de pratique deviennent une composante essentielle de l’accomplissement du travail.”— @hjarche

“Les communautés qui peuvent créer de tels espaces sûrs pour que chacun puisse se montrer de façon authentique dans toute leur singularité la plus pure créent les conditions pour qu’une multitude de voix et de points de vue s’entrelacent, se mettent en synergie et s’intègrent. De telles communautés créent les conditions d’une appartenance caractérisée par l’invitation, l’inclusion, l’inspiration, la compréhension et l’interconnexion. Ce n’est que lorsque les personnes appartiennent pleinement à la communauté qu’elles peuvent participer et contribuer à partir de leur moi le plus profond et intégral.”— Sahana Chattopadhyay

“Les communautés informelles: c’est là où les choses se passent. C’est là où les savoirs sont découverts et partagés, et où les nouveaux savoirs sont co-créées et appliquées.” — @dr_rattray

“Ne demandez pas de feedback. Demandez des conseils ou des actions à entreprendre pour vous améliorer. De cette façon, vous créez un partenaire. Lorsque vous demandez un retour, vous créez un critique. ” — Daniel Pink

Anne Marie Rattray m’a fait part, lors d’une conversation, de ses réflexions sur la convergence et la divergence :

“Je pense que la divergence est aussi importante que la convergence. Je me souviens d’avoir entendu une scientifique britannique [la baronne Susan Greenfield] parler de la façon dont les nouvelles idées sont créées. Selon elle, les nouvelles idées commencent par un défi, puis par “voir quelque chose en termes d’autre chose”, par exemple en appliquant des idées parallèles provenant d’une autre source en dehors d’une discipline spécifique. L’étape suivante consiste à avoir un prise de conscience et Eurêka.

Ainsi, la convergence des savoirs de disciplines, ou entre le passé et le présent, conduit à des idées divergentes qui remettent en question le statut quo et font progresser un ensemble de savoirs.”

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“Il existe quatre types de conversations qui sont largement applicables à toute situation, et qui sont particulièrement nécessaires pour exploiter la pensée d’un groupe lors de défis adaptatifs :

1) les conversations visant à établir des relations,

2) les conversations pour la compréhension mutuelle,

3) les conversations sur les possibilités,

et 4) les conversations pour l’action.

Nous utilisons le terme “conversation” pour signifier l’interaction qui se produit lorsque chaque personne s’efforce activement de comprendre le sens que l’autre essaie de transmettre.” — Nancy Dixon

“La conversation se compose des éléments spécifiques que sont l’écoute, la validation, la compréhension et le soin. Chacune de ces composantes est truffée de constructions personnelles et culturelles qui doivent ensuite être étendues dans la construction interpersonnelle qui représente l’espace partagé de la conversation.

Si l’on simplifie tout cela dans l’anglais le plus simple possible, on commence par le besoin personnel d’améliorer sa condition, ce qui active la motivation. Celle-ci est ensuite exprimée par l’interaction sociale de niveau supérieur qui suscite la coopération, la compréhension, l’empathie et la confiance.

Tous ces éléments représentent des états neurochimiques distincts, complémentaires et superposés qui s’accompagnent de changements biochimiques. En bref, les conversations peuvent nous faire changer d’avis, recâbler notre cerveau, modifier notre perspective et redéfinir notre perception du monde et de nous-mêmes. Que ce soit en personne ou à distance via notre technologie, l’effet est pratiquement le même. Cela a de profondes implications dans le marketing et la stratégie de marque, ainsi que dans nos vies personnelles.

Et tout commence par un simple “Parlons-en”. — David Amerland

Les “cosmopolites internationaux” bâtissent des ponts en apprenant, collaborent et coopèrent avec des personnes, des fuseaux horaires et des cultures différents, développent l’humilité et l’empathie.

En lire plus: The Skills That Global Cosmopolitans Bring to the Table by Linda Brimm| INSEAD Knowledge.

“La créativité est un état d’esprit, une attitude, un mode de vie. On pourrait également la considérer comme un ensemble d’habitudes. Si vous voulez mettre votre créativité en avant, explorez les moyens de l’introduire dans votre vie par une myriade de petits actes” — Meredith Lewis

“La créativité, nous dit Leski, est un chemin sans début ni fin ; elle est permanente. Cette vision révélatrice du processus créatif sera un guide essentiel pour toute personne engagée dans la découverte créative.” — MIT Press, The Storm of Creativity by Kyna Leski with a foreword by John Maeda

“Les quatre piliers de la créativité :

– Inspiration = lire des livres, rechercher des conversations intéressantes, apprendre des autres et de la nature.
– Idéation = générer et discuter des idées
– Introspection = réfléchissez à vos progrès, vos sentiments, vos défis et vos opportunités.
– Oisiveté = se reposer, se détendre, se ressourcer” — @anthilemoon

“La créativité consiste plutôt à prendre les faits, les fictions et les sentiments que nous stockons et à trouver de nouvelles façons de les relier.” — @TharpTwyla, The Creative Habit

“La curiosité, c’est du temps passé à écouter les personnes de votre organisation et à être attentif à votre environnement. C’est prendre le temps de comprendre les personnes et les situations à partir de différentes perspectives et non de ses préjugés.” – Shannon Tipton

“Lorsque nous sommes curieux, nous nous engageons dans le monde en explorant, en apprenant et en donnant du sens à nos découvertes” — @ariannahuff

La curiosité est essentielle dans notre monde moderne et son importance. Comment développer la curiosité et les compétences futures ? À travers cette série d’article sur la curiosité, je partage comment on peut commencer à nourrir et développer la curiosité par soi-même et avec ses pairs.

D
E

“L’écriture sur le Web est une technologie que nous commençons tout juste à apprendre à utiliser. Si l’écriture pour le Web peut être considérée comme formellement et fonctionnellement proche de l’écriture pour l’imprimé, une telle perspective la prive des opportunités que les environnements hypermédias et ses textes nous ouvrent pour nous connecter, comprendre et savoir davantage.

Pour bien écrire sur le Web, nous devons être conscients des métamorphoses du texte sur le Web [lien vers un entretien transcrit avec Cruce Saunders] : Le Web sémantique et les données liées avec Teodora Petkova] et le monde qui se cache derrière notre œil d’écrivain et de lecteur en boucle.” — Teodora Petkova

“L’éducation serait transformée si apprendre à apprendre était considéré comme aussi important que ce qui doit être appris. Pour maîtriser les compétences nécessaires à l’avenir, distribuez des cannes à pêche, pas des poissons.” — @simbeckhampson

“Le processus par lequel les membres interagissent avec la communauté. Les comportements qui constituent l’engagement comprennent : poser/répondre à des questions, partager des ressources, assister à des appels/événements, accueillir de nouveaux membres et travailler à voix haute, parmi de nombreuses autres actions communautaires publiques.” — The Community Roundtable

“L’engagement sain résiste à l’instrumentalisation des personnes, malgré les impératifs d’efficacité : les personnes engagées sont véritablement “vues” par leurs pairs et leur hiérarchie, respectées dans leur diversité et dans leur libre arbitre. L’engagement sain se développe dans des environnements qui favorisent la cohésion, offrent un soutien tangible, concentrent l’énergie dans une même direction (par l’adhésion et non la coercition), dans le temps et dans l’action.

L’engagement exige un leadership réciproque et protecteur – un leadership compris non pas comme un titre ou une fonction, mais comme un processus de partenariat dynamique.”

A l’heure où l’engagement civique et professionnel apparaît comme une réponse à de nombreux défis contemporains, ce numéro pose la question urgente et vitale de nos pratiques de commandement et de leadership.” – — Céline Schillinger

“Une exposition est un argument, mais véhiculé différemment, à travers des objets et avec beaucoup moins de texte. C’est une initiative très différente, et très utile.” – Kristel Smentek, professeur associé au MIT

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F

“Flow (décrit par Mihály Csíkszentmihályi), l’état de grâce reflètant l’équilibre parfait
entre les compétences et les défis.”

— Milija Šimleša, Senior User Experience Researcher, Sencrop

G
H

rotana ty technology humanity stem ethics creativity imagination gerd leonhard

J’aime l’idée de combiner STEAM (A comme Arts) avec HECI (Humanité, Ethique, Créativité, Imagination), que Gerd Leonhard suggère dans son article. Et si la complexité était également incluse dans HECI ? Cela deviendrait HECIC. Le Complexity Labs est une très bonne plateforme en ligne pour plonger dans le monde des systèmes complexes et de leurs applications.

I

“Les IDGs (Inner Development Goals) fourniront un cadre essentiel de compétences transformatrices pour le développement durable, un kit de terrain (en cours de co-création) sur la façon de développer ces compétences nécessaires – open source et gratuit pour tous. Le cadre actuel des IDGs représente 5 catégories et 23 compétences et qualités qui sont particulièrement cruciales pour les dirigeants qui s’occupent des Objectifs de Développement Durable, mais fondamentalement pour nous tous ! C’est le plus grand accélérateur possible pour atteindre les Objectifs de Développement Durable et créer un avenir prospère pour toute l’humanité.”

“L’innovation se produit lorsque les différences sont mélangées d’une manière nouvelle. Mais ces différences ne peuvent être mélangées que s’il existe une certaine similitude sur laquelle établir une relation.”

—Valdis Krebs dans le podcast “On the edge”.


« L’innovation est une meilleure façon d’apporter de la valeur.

Selon moi, il n’y a pas d’innovation tant qu’elle n’apporte pas de valeur ajoutée ou qu’elle n’aide pas quelqu’un à résoudre un problème dans le monde réel. »

—  Saul Kaplan, Fondateur / catalyseur en chef de la Business Innovation Factory, et auteur de The Business Model Innovation Factory : comment rester pertinent quand le monde change


« L’innovation est la capacité à réaliser une production qui soit à la fois nouvelle et adaptée au contexte dans lequel elle se manifeste. »

—  Todd Lubart, professeur de Psychologie à l’Université Paris Descartes

L

Pas encore de définition. Quelques dimensions à lire:

“Le leadership change à mesure que les modèles en réseau prennent de l’importance. Excellent aperçu de certains attributs clés émergents : la curiosité, le courage et la responsabilisation des autres. Et oui, vous pouvez SENTIR la différence immédiatement. C’est remarquable. Excellent aperçu de @rotanarotana” – Rachel Happe

M

“La marche est un moyen intelligent de bénéficier de toute une série d’avantages physiques, mentaux et psychologiques. En l’introduisant dans votre routine quotidienne, vous bénéficierez à long terme de vos objectifs de forme cardiovasculaire et aérobie. Elle contribuera à prolonger votre durée de vie et vous aidera à atteindre vos objectifs de perte de poids.” — Darebee

“Les Mega changements sont bien plus que de simples changements de paradigme, qui ne touchent généralement qu’une seule sphère de l’activité humaine. Ils arrivent soudainement pour transformer la base et le cadre d’industries et de sociétés entières. Les méga-changements ne remplacent pas le statut quo par une nouvelle normalité – ils libèrent des forces dynamiques qui remodèlent la vie telle que nous la connaissons. Les Mega changements reconfigurent radicalement la relation séculaire entre notre passé, notre présent et notre avenir.” — Gerd Leonhard dans son livre “Technology vs Humanity”

Pas encore de définition. Pensez à lire mes notes sur le mentorat tirées du podcast Women of Learning.

“Je n’ai pas un seul mentor. Mon réseau est mon mentor.” — Reid Hoffman

Discussions Ouvertes Distancielles Mentorés

Sahana Chattopadhyay a publié un article intéressant sur les “11 différences entre un MOOC et un cours en ligne”. Son article m’a fait réagir en partageant avec elle et d’autres partenaires d’apprentissage l’excellent article d’Anne Marie Rattray. Selon elle, l’acronyme MOOC pourrait représenter quelque chose de beaucoup plus utile et significatif que le sens très répandu de l’acronyme MOOC.

“Les MOOC passez à autre chose ?

Ce que l’explosion des MOOC m’indique, c’est que malgré notre manque de temps, nous utilisons les technologies sociales pour nous éduquer. Et c’est bien sûr une bonne nouvelle.

Mais je pense que la véritable opportunité d’apprentissage autonome se trouve dans le “C” de MOOC, “c” pour conversation et connexion, ainsi que dans les cours. Elle se trouve également dans la partie “M”. Ma vision est celle de conversations ouvertes distancielles mentorées, soutenues par des mentors, des coachs, des facilitateurs et, surtout, par les pairs.”

“C’est pourquoi je pense que les réseaux sociaux sont si riches de possibilités pour les Conversations Ouvertes Distancielles Mentorées – c’est une manière pratique, opportune, socialement engageante, solidaire, rassurante et stimulante d’apprendre. Et tout cela est possible.”

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N

“Les néo-généralistes ont du mal à décrire ce qu’ils font, ce que je peux comprendre. Les néo-généralistes défient la compréhension commune. Ils franchissent les frontières, et certains les brisent. Ils voient des motifs avant les autres” — Harold Jarche

Mes notes de lecture du livre ‘The Neo-Generalist’ dans lequel je suis inclus. Un extrait :

Kenneth Mikkelsen et Richard Martin ont écrit dans leur livre ‘Néo-généraliste‘ :

“Le chercheur et explorateur numérique Rotana Ty, par exemple, en réfléchissant à ses propres expériences de vie sur le continuum spécialiste-généraliste et d’adaptation aux changements de contexte, fait référence au concept de disc-jockey privilégié par Sanders et Sloly. Un DJ, en particulier à l’époque qui a suivi l’émergence du hip-hop à la fin des années 1970, emprunte, échantillonne et remixe constamment la musique existante pour créer quelque chose de nouveau. Ils font en musique ce que les auteurs modernistes des années 1920 faisaient en littérature ; ils volent comme des artistes, comme le dit Austin Kleon.(…)

Dans une autre variante, Jane McConnell, conseillère d’entreprise, analyste et pianiste de jazz occasionnelle, préfère la métaphore du mixologue, qui, tel un DJ, crée quelque chose d’unique à partir d’une intégration créative. Le néo-généraliste est toujours curieux, il peint des tableaux, raconte des histoires, mélange, échantillonne, expérimente, essaie de redessiner les bords de la carte.”

book kenneth mikkelsen neogeneralist leadership rotana ty

Couverture du livre The Neo-Generalist écrit par Kenneth Mikkelsen et Richard Martin. J’y suis mentionné.

En effet, il s’agit de devenir un maître de vos joyaux numériques curés et créés pour les remixer :

“Lorsqu’un DJ apporte un ordinateur portable rempli d’échantillons de musique dans un club, il ne joue pas d’un instrument, mais nous ne pouvons pas dire qu’il ne fait pas preuve de créativité en mélangeant ces sons pour créer son propre effet. En ligne, la seule chose dont vous êtes le maître, c’est votre collection, vos archives, et la manière dont vous les utilisez, dont vous les remixez. Nous devenons des archivistes numériques, nous collectons et cataloguons des choses. Je trouve ça passionnant.

(…) une personne éduquée à l’avenir sera une personne curieuse qui collectionne de meilleurs artefacts. La capacité de catalyser et d’utiliser des faits est la nouvelle éducation. Comment les exploiter, comment les utiliser.”  — Wasting Time on the Internet? Not Really

O

“Une organisation apprenante est une organisation qui se transforme et évolue en permanence. Elle ne peut et ne doit pas rester la même. Pour cela, vous avez besoin de personnes qui sont prêtes à le faire ; de managers qui soutiennent et donnent l’exemple ; d’une culture de l’expérimentation aussi” https://twitter.com/HarvardBiz/status/1153562156501209088

P

Sahana a écrit son excellent article :

“Les nouveaux récits sont les voix de beaucoup de personnes – connectés à travers les pays et les nations, les forêts et les îles, les villages et les villes – par des valeurs, des croyances et une sagesse provenant du plus profond de l’humanité. Une sagesse qui découle d’une vie enchevêtrée avec la planète vivante qui est leur foyer et leur source de subsistance. Ils ont longtemps été les gardiens de leurs écosystèmes, bien avant que la colonisation, l’impérialisme, l’industrialisation, puis la mondialisation ne les déplacent. Ils deviennent une fois de plus les hérauts d’un nouvel ordre civilisationnel, sans être encombrés par le récit eurocentrique du développement et du progrès.

Un monde qui fonctionne au-delà de l’étroitesse des “ismes” et des dogmes. Fil par fil. Des contextes, des cultures et des communautés diversifiés sont tissés ensemble. Sans pour autant rechercher l’homogénéité. L’hétérogénéité est la valeur fondamentale – un monde pluriversel où de nombreux mondes ont leur place. Il ne s’agit plus de “changer d’échelle”, mais de “changer d’échelle latéralement” et, si nécessaire, de “changer d’échelle vers le bas”. Il s’agit d’enchevêtrement, d’apprendre les uns des autres, de modifier, d’essayer, d’échouer, puis de réessayer.”

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“Dans sa forme la plus aboutie, la prospective ne consiste pas à prédire l’avenir ; il s’agit plutôt d’amener des personnes à réfléchir en profondeur à des questions complexes, à imaginer de nouvelles possibilités, à relier des signaux à des paradigmes plus larges, à relier le passé au présent et à l’avenir, et à faire de meilleurs choix aujourd’hui. Les compétences en prospective sont essentielles pour que chacun apprenne à être maître de sa propre vie et à prendre de meilleures décisions face aux nombreuses transformations de nos technologies de base et de nos structures organisationnelles. Plus on pratique la prospective, plus on s’améliore.” – Marina Gorbis

Q
R

“Je pense que ce qui s’est passé, c’est que nous avons dépassé “l’âge de l’information” et que nous entrons maintenant dans “l’âge du sens”, Internet agissant comme une puissante “vague pilote” qui guide un système auto-organisé basé sur les valeurs humaines fondamentales que sont l’amour, le respect et le sens.

Ainsi, du RAP (Réseau d’Apprentissage Personnel), nous nous dirigeons vers le RPDS (Réseau personnel pour dégager du sens).”  —  @EnggMainR

“Réseau personnel pour dégager du sens est un beau motto. Il décrit bien mon expérience depuis 2009 sur Twitter. À mon avis, l’ingrédient magique est la persistance des conversations.

Il y a des gens que j’ai rencontrés sur Twitter il y a 4 ou 5 ans et que je croise encore. Je trouve que c’est la persistance au fil des ans et sur différents outils digitaux – twitter, G+, parfois Linkedin, de temps en temps un e-mail ou deux – qui m’a révélé les personnes avec lesquelles je suis en contact.

Ce sont de belles âmes. Merci à l’Univers. ” —  @toughloveforX

L’écosystème personnel pour dégager du sens nous rend donc intéressants lorsque nous nous engageons dans des réseaux et des conversations persistantes. Et il se peut qu’il y ait un travail à faire seul avant de s’engager publiquement via les réseaux sociaux.

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S

“Stratégie émergente : “Nous ne pouvons pas d’abord savoir, puis agir. Nous devons expérimenter provisoirement, en apprendre davantage sur notre contexte et réviser continuellement nos plans.” – De l’organisation écossaise de préservation de la nature @nature_scot” HT @marshallk

T

“Travailler de manière distribuée, ce qui n’est pas la même chose que de télétravailler, consiste à redéfinir notre façon de travailler en faisant la transition vers les réseaux et les communautés en ligne comme nouveaux modes de fonctionnement.” — Luis Suarez

“Travailler de manière distribuée signifie que nous avons mis en place de nouveaux modes de fonctionnement où les communautés et les réseaux en ligne dictent la manière dont le travail est effectué. Cela signifie que nous ne devons plus dépendre exclusivement du commandement et du contrôle traditionnels, de la hiérarchie descendante de la (haute) direction qui prend les décisions pour nous. Au lieu de cela, nous prospérons dans des réseaux informels où nous avons démocratisé la manière dont les informations et les savoirs sont partagées. Notre seul moyen de survie en ligne dépend de notre capacité à coordonner, coopérer et collaborer les uns avec les autres, quels que soient les outils que nous utilisons et le contexte dans lequel nous évoluons.

C’est ainsi que nous changeons la nature du travail. C’est ainsi que nous découvrons, adoptons et adaptons de nouvelles méthodes de travail en faisant un usage intensif d’un certain nombre d’outils numériques (sociaux) qui nous permettent de gagner le mérite de faire partie intégrante de ces réseaux et communautés : en établissant des relations professionnelles personnelles dignes de confiance tout en travaillant et en apprenant ensemble. Essayer de copier exactement ce qui se passe dans un environnement de bureau n’est pas la façon dont nous repensons le rôle que nous jouons lorsque nous en venons à penser au travail.” — @elsua

“Le travail distribué est à l’origine d’une culture du travail depuis n’importe où et dépend de plus en plus de la communication asynchrone, car les gens se déplacent sur plusieurs fuseaux horaires. Afin de partager les savoirs implicites nécessaires à un travail complexe, il faut développer la confiance. Les personnes ne partagent qu’avec ceux en qui ils ont confiance. Cette confiance prend du temps à se développer entre les personnes. Comment peuvent-ils le faire lorsqu’ils ne sont pas dans le même bureau ?”– Harold Jarche

Six conseils pour travailler dans une équipe entièrement distribuée, ou même partiellement distribuée, du débutant au confirmé, partagés par @johnmaeda:

  1. Choisissez l’asynchrone plutôt que la synchrone chaque fois que vous le pouvez, mais toujours de façon mutuelle.
  2. Si vous devez utiliser Slack, faites des tentes comme salles de conférence temporaires.
  3. Apprenez des YouTubers comment réaliser rapidement des vidéos partageables.
  4. Ayez une liste de bières-gâteaux-kombucha pour prendre soin d’un collègue.
  5. Lors d’un appel vidéo avec un large public, demandez que les caméras soient allumées et appelez toujours les personnes par leur nom.
  6. Utilisez le temps partagé comme substitut à l’espace partagé en le partageant régulièrement.

“Que signifie le travail hybride pour vous ?” demande @rhappe.

Adopter des moyens synchrones et asynchrones pour collaborer, co-créer et coopérer au sein d’une organisation, d’une équipe, d’un réseau et d’une communauté distribués – en face à face et en ligne.

Rachel Happe a également tweeté :

“J’aime beaucoup cette définition. Beaucoup passent à côté de la place importante du travail asynchrone.

Je constate que certaines personnes définissent l’hybride comme le fait que tout le monde soit en télétravail la plupart du temps, d’autres comme le fait que tout le monde soit au bureau quelques jours par semaine, et les meilleurs repensent la façon dont ils travaillent.”

Et ce tweet:

“Je réfléchissais récemment aux rôles des réunions et à la façon dont tous les participants devraient en avoir une (pour en faire une collaboration plutôt qu’une présentation) et dans ces situations, rendre une personne dans la salle responsable d’une personne qui se joint à la réunion en télétravail pour s’assurer qu’elle soit incluse et en mesure de participer.”

“Les équipes hybrides qui 1) se rencontrent périodiquement en face à face, 2) se réunissent en dyades lorsque cela est approprié, et 3) ont l’intention de s’engager dans des interactions interpersonnelles aussi bien que transactionnelles pendant les réunions en ligne, éliminent bon nombre des déficits des équipes virtuelles. Elles établissent les relations et la confiance nécessaires pour accroître la collaboration, l’engagement et le partage des savoirs.” — Nancy Dixon

U

Selon Jane McGonigal, l’urgent optimisme est un état d’esprit et une pratique. Il combine la flexibilité mentale, l’espoir réaliste et le pouvoir/les actions futures pour l’efficacité personnelle et l’efficacité collective. En outre, l’imagination, le courage et les compétences en collaboration intensive sont activés. Pour pratiquer et développer l’urgent optimisme, j’apprends avec une communauté internationale d’urgents optimistes/prospectivistes depuis mars 2022.

V

“VUCA : Virtuel [Unknown] Inconnu Chaotique Adaptable” — François Lavallée

“Peter Hinssen, dans The Network Always Wins, décrit l’antidote à VUCA comme étant VACINE.

  • Vélocité
  • Agilité
  • Créativité
  • Innovation
  • Network Thinking ou Pensée en réseau
  • Expérimentation” — Harold Jarche
W

“Mon acronyme préféré maintenant est WFA [Work From Anywhere] — travailler de n’importe où” — @hjarche

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‘WFA [Work From Anywhere] étend le travail individuel, obstrue le bureau, réintroduit l’écrit et pourrait s’inverser en ateliers de misère connectés numériquement.’

C’est une sacrée chute qu’Harold Jarche a concoctée sur ce bel article de blog 👉🏻 https://bit.ly/3xd3CUk réfléchissant au #DistributedWork [Travail distribué]

La meilleure façon de communiquer avec une équipe distribuée est l’écriture, surtout si l’on tient compte des multiples fuseaux horaires. De bonnes compétences rédactionnelles deviendront essentielles dans un lieu de travail distribué.’

Je ne pourrais qu’être plus en accord avec cette affirmation, même si j’ajouterais également que la #SenseMaking [Création de Sens] (à la #PKMastery/Apprentissage Continu en Réseau) deviendra tout aussi essentielle dans le lieu de travail digital actuel. Pourquoi ? Eh bien, lisez ci-dessous 👇🏻

‘En 2020, Prodoscore a examiné 90 000 données provenant de 7 000 travailleurs. Un résultat intéressant était que les personnes très performantes utilisaient régulièrement la voix & la vidéo moins souvent que les personnes peu performantes. L’outil de choix des employés les plus performants était la messagerie et le chat “.

Il s’agit de repenser l’objectif de son travail dans un lieu de travail distribué ! Whoaaah ! La vidéo/voix seule, en effet, ne suffit plus.

Tout se joue dans la maîtrise de l’art de faciliter les discussions mutuelles (cela a toujours été le cas! 😅👍🏻)” ― @elsua

“La wirearchie est un principe d’organisation primaire (émergent). En tant que tel, il peut être utilisé pour mieux comprendre, instancier et agir vers l’efficacité dans un monde interconnecté en réseau.

La définition de travail de la Wirearchie est “un flux dynamique bi-directionnel de pouvoir et d’autorité, basé sur le savoir, la confiance, la crédibilité et l’accent mis sur les résultats, rendu possible par des personnes et des technologies interconnectées”.

Le savoir. Confiance. Crédibilité. L’accent sur les résultats.” — Jon Husband

“👉 Show Your Work [Montrer son travail] = produit fini, sert à informer les autres et à obtenir des retours.
👉 Work Out Loud [Travailler à haute voix] = travail en cours, sert à inviter les autres et embarquer des collaborateurs. ” — @britz

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