Quais de savoirs & de machines

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Expérience immersive & réflexive

Cet été, j’ai partagé ma curation de ce que j’ai appréciées au cours de mes voyages. L’une des expériences qui m’a le plus marqué est l’exposition intitulée “IA : Double Je” au Quai des Savoirs de Toulouse.

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Exposition IA Double Je au Quai des savoirs, Toulouse, France.

L’exposition comporte cinq modules thématiques : Introduction à l’IA, Données et apprentissage, IA imaginaire, Impact social/environnemental, Interaction homme-machine. Les installations interactives et artistiques pour expérimenter avec des témoignages d’experts en IA et des débats sur les questions éthiques.

J’ai apprécié l’approche pluridisciplinaire : science, art, philosophie, sociologie, changement climatique et technologie. Plus d’informations dans le dossier de presse. Par ailleurs, il existe un certain nombre d’épisodes de podcasts en français à écouter si vous souhaitez en savoir plus sur l’IA.

“🌞 C’est l’été ! Pourquoi ne pas mettre notre #podcast Détour vers le futur dans vos oreilles sur la plage, à la montagne ou dans la campagne ? Pendant toute cette 4ème saison, Laurent Chicoineau et Marina LEONARD ont discuté avec des scientifiques passionnants sur la thématique de l’intelligence artificielle. Avec toute l’équipe, ils vous ont concocté un petit best-of d’une vingtaine de minutes, pour vous donner envier d’écouter tout le reste !” ― Quai des Savoirs

Cette exposition me permet d’expérimenter, d’apprendre et de réfléchir sur le pourquoi, le comment et les domaines où l’intelligence artificielle générative est intégrée dans la vie et le travail.

Ravi de vous partager des pensées profondes, des curations, des observations, des expériences et mon point de vue sur la façon dont nous sommes dans des quais de savoirs et de machines.

J’ai souvent trouvé que les expositions d’art et de technologie étaient une expérience immersive, comme je l’ai partagé avec mon expérience d’art immersif à Bordeaux. C’est aussi un moyen de réfléchir et prendre du recul sur la discipline et les pratiques que nous avons avec les outils pour travailler et apprendre continuellement, individuellement et collectivement.

Interactions & confiance avec les machines conversationnelles

“J’adore découvrir la liste de Jane chaque année ! Curieux de voir comment l’IA va modifier cette liste année après année à mesure que la technologie mûrit et évolue 👀” ― Koreen Pagano

Dans son analyse des meilleurs outils pour l’apprentissage en 2024, Jane Hart écrit :

“La 18e enquête annuelle sur les outils a recueilli 1 599 votes, à partir desquels a été établi le Top 100 Tools for Learning 2024. By Category présente les outils de la liste dans 4 domaines clés. Voici 5 observations sur la liste de cette année

1 – L’IA a décollé

L’année dernière, ChatGPT est apparu sur la liste en 4ème position ; et cette année, il est passé en 2ème position – juste derrière le leader (YouTube). La plus grande nouveauté de cette année est un autre chatbot d’IA, Copilot de Microsoft (20e place), et trois autres chatbots d’IA ont été ajoutés à la liste :Perplexity (47e), Claude (5e) et Gemini de Google (53e). Sur les 6 nouveaux outils figurant sur la liste cette année, 5 sont des outils d’IA. Parmi eux, Clixie.ai (n°96) permet de créer des vidéos interactives.”

Comment utilisez-vous les outils de l’intelligence artificielle générative, en particulier les chatbots, pour travailler et apprendre ? Quelle est votre relation avec les machines conversationnelles ?

“Lorsque nous parlons à des machines conversationnelles, les traiter avec respect fait partie de l’attention que nous portons à nous-mêmes en tant qu’êtres humains.”― Sherry Turkle

Nos interactions avec les machines conversationnelles impliquent également la confiance.

Issu de la note de l’épisode du podcast, La communication est un avantage concurrentiel avec Jennifer Sertl, animé par Jennifer Sproul, PDG de l’Institute of Internal Communication, Dominic Walters, expert en communication sur le leadership, et Cathryn Barnard, experte de l’avenir du travail, voici quelques points à retenir :

“Le leadership authentique implique de comprendre son essence et ses valeurs.

La communication avec l’âme est essentielle sur le lieu de travail.

L’IA ne peut pas remplacer le besoin de confiance et de connexion humaine.

Le langage et la conversation ont le pouvoir de changer les perspectives et de façonner le leadership.

Il est crucial de créer un espace securisant pour que les dirigeants puissent s’exercer et apprendre.

Un leadership authentique exige de la curiosité, de la vulnérabilité et la capacité d’écouter et d’apprendre. Les dirigeants doivent se faire confiance et créer des environnements où les autres peuvent également se faire confiance.

Le modèle traditionnel du MBA et les structures hiérarchiques peuvent ne pas être durables dans le paysage changeant du travail.

Les communicateurs internes jouent un rôle crucial dans la compréhension du modèle d’entreprise, l’utilisation efficace du langage et l’humanisation de l’auditoire.

Une communication efficace en matière de leadership consiste à bâtir une communauté, à poser de grandes questions et à être fidèle à soi-même.”

De quelles marges de manoeuvre disposent les humains si l’IA ne peut pas remplacer le besoin de confiance et de connexion humaine ?

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Quiz sur un écran interactif dans l’exposition IA Double Je au Quai des savoirs, Toulouse, France.

Authenticité de l’Homme et assistance des machines

“En résumé, il faut appliquer l’IA au travail puis à l’homme, et non l’inverse.” – Bertrand Duperrin

Revenons à l’utilisation des outils de l’intelligence artificielle générative. Dans le Top Tools for Learning 2024 de Jane Hart, les outils d’intelligence artificielle génératives les plus connus et les plus utilisés dans l’univers des outils GenAI sont apparus. De ChatGPT, Claude, Perplexity à Gemini, ce n’est que la pointe de l’iceberg. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Avez-vous entendu parler du GenAI Prism ?

Brian Solis explique :

“Le GenAI Prism organise le paysage des entreprises d’IA générative qui automatisent et augmentent la façon dont les individus créent et travaillent dans leur vie personnelle et professionnelle.

Plus qu’une visualisation des logos d’IA générative les plus populaires, le GenAI Prism offre un modèle mental qui permet d’aborder les invites de façon réfléchie et intentionnelle pour obtenir des résultats et des idées plus intentionnels.

Le GenAI Prism est un guide de référence qui incite la créativité et l’imagination humaines à collaborer avec l’IA pour obtenir des résultats plus réfléchis, plus efficaces et plus extraordinaires.

L’intelligence artificielle générative n’est pas là pour faire le travail des individus ou les remplacer, mais plutôt pour servir de partenaire créatif afin d’augmenter la production humaine. Elle améliore, accélère et stimule le travail que nous effectuons aujourd’hui tout en nous permettant de réaliser et de créer des produits que nous ne pouvions pas faire auparavant.”

Ai-je bien lu augmenter la production ?

Dans cette ancienne publication, j’ai réfléchi à la façon dont les machines pourraient ou non augmenter l’impact humain, si nous restons curieux. J’ai remarqué :

L’utilisation des machines…

… contribue t-elle à améliorer note monde ou est-elle uniquement à but lucratif ?

… nous aide-t-elle à être une meilleure version de nous-mêmes ?

… nous permet-elle de développer nos compétences ?

… contribue-t-elle à nous réinventer et à réinventer nos organisations ?

… favorise-t-elle le développement de nouvelles expériences et de notre portfolio?

… remet-elle en question le statu quo au lieu de réinventer la roue ?

… nous aide-t-elle à voir la situation dans son ensemble avec un regard neuf ?

… comprend-elle la complexité d’un groupe, d’un mouvement de personnes ou d’une ville telle que Vienne ?”

L’avenir est-il déjà là, mais pas encore distribué ? Que reste-t-il aux êtres humains pour apporter leur contribution et se démarquer par leur touche humaine ?

Dans son article intitulé “Empreintes professionnelles : la touche humaine dans un monde d’IA“, Taruna Goël écrit :

J’aime à croire que mon empreinte professionnelle m’est propre ou, du moins, qu’elle est suffisamment distinctive pour refléter une certaine façon de penser, de résoudre des problèmes et de prendre des décisions. Je veux donc tout faire pour la préserver et la nourrir – aujourd’hui plus que jamais – et surtout en augmentant mon intelligence avec des outils d’IA. Je veux conserver et préserver la touche humaine  l’ère de l’IA“.

Les empreintes professionnelels me font penser à ce que Nilofer Merchant nomme comme “l’Onlyness” :

“La première étape pour libérer les talents dans la #SocialEra est de célébrer ce que j’ai appelé l’Onlyness.

L’Onlyness est cette chose que seul cet individu peut apporter à une situation. Elle inclut le parcours et les passions de chaque être humain. L’Onlyness consiste fondamentalement à honorer chaque personne : d’abord telle qu’elle se perçoit elle-même et ensuite telle qu’elle est appréciée. Chacun d’entre nous se tient à une place que personne d’autre n’occupe. Ce point de vue unique est le fruit de l’expérience, de la perspective et de la vision que nous avons accumulées.

Certaines de ces expériences ne sont pas aussi “parfaites” que nous le souhaiterions, mais même ces expériences sont une source pour ce que vous créez.

Par exemple, la personne dont le frère ou la sœur cadet(e) est atteint(e) d’une maladie peut, en grandissant, travailler dans la médecine pour trouver le remède. La personne qui est obnubilée par les détails esthétiques pourrait finir par s’intéresser au design industriel et réinventer la façon dont nous utilisons tous la technologie.

La personne qui a grandi sous l’oppression pourrait finir par défendre la liberté d’expression et faire ainsi progresser la situation de son pays. Cette Onlyness individuelle est le moteur d’une créativité, d’une innovation et d’une capacité d’adaptation considérables.

À quoi ressemble votre Onlyness ?

Comment pouvons-nous individuellement et collectivement l’étendre et l’activer pour prospérer à l’ère des réseaux ?

Avez-vous entendu parler du Onlyness Canvas de Nilofer Merchant et du Business Model You ?

Ces outils peuvent être utiles pour prendre du recul et identifier nos forces et notre raison d’être afin de contribuer et d’avoir un impact positif dans votre secteur et dans le monde. Je les considère comme des outils permettant de faire un travail personnel et approfondi sur soi afin de trouver et d’affiner sa boussole, son approche principale, l’ensemble des compétences, l’état d’esprit et l’ensemble des outils permettant d’aller en profondeur dans un monde fragmenté.

Quelles capacités devons-nous développer et activer à l’ère de l’intelligence artificielle générative ?

Technologies d’assistance & compétences futures

Les outils de l’intelligence artificielle générative peuvent être considérés et utilisés comme une boîte à outils personnalisée pour assister et soutenir la spécialisation du travail humain, et non comme un remplacement.

Lorsque nous utilisons un chatbot conversationnel comme ChatGPT, Copilot, Claude ou Perplexity pour trouver de l’inspiration, générer des idées et des scénarios – en bref, pour stimuler la créativité et améliorer considérablement notre productivité – nous ne devons pas oublier que nous avons toujours besoin de penser de manière critique et d’avoir la vivacité de l’expérience humaine sur le terrain – que ce soit en distanciel, en présentiel ou les deux. Surtout lorsque nous faisons partie d’équipes et de communautés distribuées.

“Je suis heureux de voir ce type d’IA utilisé comme technologie d’assistance, en particulier pour aider les communautés marginalisées. Je suis également un peu plus optimiste quant au fait que cette technologie sera principalement installée sur nos appareils et n’utilisera pas d’énormes centres de données consommateurs d’énergie.” ― Harold Jarche

La manière dont nous utilisons et intégrons les outils de l’intelligence artificielle générative dans nos pratiques et flux quotidiens de travail et d’apprentissage – comme nous le faisons avec Microsoft 365 et Google Workspace, ou tout autre ensemble d’outils de productivité open source – contribuera à libérer du temps et de l’espace pour ajouter de la valeur de manière unique – qu’il s’agisse d’un contenu, d’un programme, d’une approche ou d’une stratégie qui doit être repensée à la fin de la journée. Comme pour tout prototype. Il est important de sortir du bâtiment ou des chatbots conversationnelles pour vérifier vos hypothèses.

Si les outils de l’intelligence artificielle génératives sont davantage des assistants qui nous aident à réfléchir, à évoluer et à affiner notre travail et notre apprentissage au fil du temps, ils ne peuvent pas encore nous aider à devenir plus conscients de notre authenticité, de notre néo-généralisme et de notre spécialisation. Les histoires que nous racontons et partageons et qui résonnent avec nos équipes, notre réseau professionnel et nos communautés dépendent encore de nous, et non des algorithmes.

“Le travail narratif va au-delà des mots uniquement et des techniques probabilistes des algorithmes.”― David Snowden HT @dangerousmeredith

Littératie de l’IA & pensée critique

Comment développer une culture de l’IA dans notre vie et notre travail ?

J’ai écouté l’épisode du podcast : ELC 082 : A Blueprint for AI Literacy in Learning and Development’s Conversation avec Stella Lee et Connie Malamed.

Voici les notes :

Le cadre se compose de sept domaines clés : Fondamentaux de l’IA, maîtrise des données, réflexion critique/vérification des faits, divers cas d’usages de l’IA, éthique, pédagogie de l’IA et avenir du travail. Le cadre se veut flexible et adaptable à différents contextes et besoins individuels.

La littératie de l’IA implique non seulement des connaissances et des compétences, mais aussi le bon état d’esprit pour intégrer les intelligences artificielles.

Deux domaines particulièrement importants pour les professionnels formation sont la pédagogie de l’IA et l’éthique de l’IA. Et cela peut valoir pour tous les innovateurs en pédagogie, les éducateurs, les enseignants, les prospectivistes, les designers de l’avenir du travail et les community builders.

Il existe trois niveaux de compétence en matière de pédagogie de l’IA :

Niveau introductif

  • Comprendre les différents outils d’IA disponibles pour apprendre.
  • Reconnaître le paysage actuel des outils d’IA pour l’éducation / la R&D.
  • Identifier les avantages et les limites de ces outils.

Niveau intermédiaire

  • Tester et piloter un ou deux outils d’IA.
  • Développer des mesures d’évaluation pour évaluer l’efficacité des outils d’IA.
  • Recueillir les commentaires des parties prenantes lors de l’évaluation des outils.
  • Reconnaître les hypothèses faites sur les processus et les théories d’apprentissage.

Niveau avancé

  • Identifier de nouveaux cas d’usages disruptifs pour l’IA dans la formation professionnelle.
  • Formuler des questions phares que d’autres peuvent utiliser pour évaluer les outils d’IA.
  • Contribuer à l’avancement du domaine et à l’approfondissement de la compréhension collective.

Comment détecter le vrai du faux à l’ère de la GenAI ?

La technologue de l’éducation Kathy Schrock écrit :

“Avec le nouvel accent mis sur l’IA sur le web, il est encore plus important que les étudiants sachent comment évaluer l’information qui leur est présentée. Ci-dessous, j’ai inclus des versions téléchargeables de mes guides pour aider les étudiants à assimiler la meilleure façon de le faire.”

Stella Lee propose également une checklist de vérification de la crédibilité des informations sur l’IA pour évaluer la fiabilité des contenus générés par l’IA.

Alors que j’affine mon apprentissage continu en réseau pour rester pertinente et apporter de la fraîcheur, j’explore pourquoi et comment nous pouvons devenir compétents sur les usages de l’IA et penser de manière critique en apprenant et en appliquant ce que nous pouvons tester et apprendre.

Comme la littératie numérique à l’aube d’Internet, la littératie de l’IA semble susciter un intérêt et des usages grandissants pour faire avancer les choses.

Toutes les grandes plateformes de MOOC donnent accès aux fondamentaux sur la définition de l’IA et les usages des intelligences artificielles. En allant de parcours pédagogiques à des cours spécifiques. Pour n’en citer que quelques-uns :

Trop long ; vous n’avez pas suivi le cours ou le programme pédagogique ! Pourquoi ne pas commencer par cette courte vidéo très claire présentée par Common Craft ?

Large Language Models (LLMs) Explained by Common Craft – 2’35

Et cette autre vidéo de Common Craft sur la pensée critique ?

Quels efforts, temps, espace, état d’esprit, compétences et outils utilisez-vous pour penser de manière critique et profonde, et faire ?

Tout commence par poser de grandes questions.

Pourquoi ? Quelles sont les hypothèses ? Sommes-nous sûrs ? comme expliqué dans cette vidéo.

Lors d’un atelier sur la créativité et la gestion de projets innovants que j’anime pour des cohortes d’apprentis, je les incite également à utiliser les 4D ou le double diamant du processus créatif pour remettre en question les painpoints de leurs clients et leur idée initiale.

Comment pouvons-nous engager avec le désordre et la complexité ?

Voici des insights pragmatiques de professionnels formation dans mon réseau :

“⚡Opinion impopulaire, peut-être : En parlant à un ami aujourd’hui au sujet de l’#AI, j’ai réalisé que le “désordre” est une partie inhérente du processus de création à l’aide de l’IA. Il faut s’engager dans la complexité, s’attaquer aux préjugés inhérents et naviguer dans les outils basés sur l’IA qui changent fréquemment.

C’est un voyage passionnant qui nécessite une attitude optimiste et pleine d’espoir. Le caractère désordonné de la création avec l’IA apporte de la richesse et de la profondeur aux expériences d’apprentissage. Il facilite l’analyse critique et nous invite à relever les défis avec un esprit positif. Considérons le ‘désordre’ comme faisant partie du processus pour l’abondance d’apprentissage qu’il offre.” ― Garima Gupta

 

“La plus grande erreur de l’IA que je vois est d’écrire de prompts sans pertinence. La deuxième erreur la plus importante est de traiter l’IA comme une baguette magique au lieu d’un outil puissant. Voici 5 façons de mieux travailler avec l’IA (au-delà de la rédaction de meilleurs prompts)” ― Srividya Kumar

Dans le Top Tools for Learning 2024 de Jane Hart, quelques usages de professionnels formation ont attiré mon attention.

Perplexity

“J’utilise Perplexity pour rechercher des sujets afin d’obtenir des informations plus approfondies que ChatGPT.”

 

“Moteur de réponse alimenté par l’IA ; essentiel avec la citation des sources.

ChatGPT

“utilisé pour analyser et trouver des lacunes dans les idées, les processus et le contenu. Il est également utilisé pour le chain prompting et la création d’évaluations pratiques avec des rubriques qui donnent un feedback aux étudiants.

Copilot

“Microsoft Copilot améliore ma productivité en s’intégrant de manière transparente à mon flux de travail et en fournissant des suggestions utiles.”

Gemini

“intégré dans notre flux de travail”

Claude

“pour l’idéation, la structuration et la révision”.

D’ailleurs, connaissez-vous et utilisez-vous le chatbot GenAI de Duckduck Go pour un accès anonyme à des modèles d’IA populaires, notamment GPT-4o mini, Claude 3 et les modèles open-source Llama 3.1 et Mixtral ?

Bel automne

Alors que nous sommes entrés dans l’automne, ravi de vous souhaiter à nouveau :

“L’automne est un second printemps où chaque feuille est une fleur.” ― Albert Camus

“L’automne a toujours été ma saison préférée. C’est le moment où tout éclate dans sa dernière beauté, comme si la nature s’était préparée toute l’année pour le grand final.” ― Lauren DeStefano, Wither

Susan Cain, auteur du livre Quiet, partage :

“L’automne est ma saison, ma chère ; c’est, après tout, la saison de l’âme.” ― Virginia Woolf

“Est-ce aussi votre saison ?”

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